Tatiana – Le fétichisme des pieds… Pourquoi pas !

Cela fait plusieurs fois que l’on se retrouve avec un homme que j’ai rencontré sur une app de dating. Le soir, lorsque je m’ennuie ou que je suis d’humeur triste, je n’hésite pas à lui téléphoner. J’ai l’impression qu’il a un petit faible pour moi, et j’en profite lorsque ça m’arrange. C’est avec lui que j’ai testé le fétichisme pour la première fois !

Une expérience inattendue avec le fétichisme

La semaine dernière, avec un coup dans le nez, je me suis retrouvée dans son appartement, au milieu de sa chambre. Nous nous sommes embrassés, caressés, et finalement, nous avons fait l’amour. Pas celui langoureux, prélude à un amour durable ! Celui de personnes saoules, mais dont il fallait assouvir les pulsions !

Sincèrement, je ne regrette pas de m’être retrouvée dans cette situation. Après tout, j’en avais envie, et lui aussi. C’est plutôt au réveil, quelques heures plus tard, que j’ai commencé à me poser des questions !

Des chaussures par milliers

C’est vrai que lorsque l’on s’est déshabillés mutuellement, il a pris plus de temps à délasser mes chaussures que ne l’aurait fait toute autre personne. Il avait aussi déposé amoureusement mes chaussettes. Je me rappelle avoir ressenti une certaine gêne, mais elle n’avait pas duré.

J’ai finalement tout compris lorsque je me suis lancée à la recherche de la salle de bain.

« Derrière la porte, en face du lit, des étagères recelaient de chaussures. Des escarpins et des sandales principalement. »

C’était un fétichiste des pieds !

Mon expérience avec un fétichiste des pieds

Durant mon errance, je n’avais pas vu que mon partenaire avait ouvert les yeux et me regardait d’un air inquiet : “Quand une fille voit ça, normalement, elle me dit qu’elle s’en va. Alors ne t’inquiète pas ! Je comprends”.

Je me suis donc approché et lui ai demandé de m’expliquer. “Je vais te montrer” me susurra-t-il. Il glissa sa main dans la mienne, me tira à nouveau dans son lit, et glissa sa main le long de mes cuisses, jusqu’à mes pieds. Allongée sur le dos, je n’osais pas faire de mouvements brusques, de peur de lui casser le nez.

Ma découverte du fétichisme

Il me caressa, lécha, mordilla les orteils, souffla légèrement sur ma voûte plantaire et mes chevilles. Etonnement, j’appréciais et essayais de résister à ces chatouilles, ce qui provoquait en moi une montée de chaleur folle.

Lorsqu’il remonta de sous cette couverture, quelques minutes plus tard, ce fut pour me faire l’amour. Fougueux, le visage rayonnant, il me fit l’amour comme jamais personne ne l’avait fait auparavant. J’en avais le souffle court. “J’aime tes pieds”, me susurra-t-il, avant que nous nous rendormions.

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